Je centrerai mon étude sur le concept d’originaire tel qu’il est défini par Freud au moment où il fonde la psychanalyse (1886-1896). Je souhaiterais faire quelques remarques liminaires. D’un point de vue terminologique, je ne prendrai pas le mot « vie » au sens strict, qui est celui d’ensemble des phénomènes qui spécifient les organismes par opposition à la matière inerte, parmi lesquels on peut citer la nutrition, la reproduction, la croissance ou la mort. Suivant cette acception, on dit en effet qu’une plante, un animal, un être humain vivent. Au contraire, je considérerai ce terme en un sens large, comme désignant l’ensemble des phénomènes (ici psychiques) qui présentent des caractères analogues à ceux de la vie. Plus précisément, il s’agit de dégager du sens strict une idée essentielle, à savoir celle d’une capacité à s’organiser de manière autonome, spontanée, à partir de principes et d’un fonctionnement interne. C’est ainsi que les expressions « la vie des idées » ou « la vie des preuves » prennent sens. Je parlerai ici de la vie psychique, comme ensemble des phénomènes psychiques (conscients et inconscients) ayant une unité de fonctionnement interne.
Par ailleurs, il faut préciser que cet exposé adoptera une approche philosophique, ou plus précisément épistémologique, c’est-à-dire visera à faire une étude critique d’un discours scientifique, en l’occurrence le discours psychanalytique. Le questionnement sera ainsi indirect ou « à ricochet » si l’on peut dire, puisque je chercherai à examiner non pas comment le temps organise la vie psychique, mais comment la psychanalyse construit un modèle de compréhension de l’action du temps sur la vie psychique. L’interrogation portera donc sur le discours psychanalytique portant lui-même sur le rôle du temps dans la vie psychique.
Je partirai de l’idée suivante, qui est généralement admise par le sens commun : la psychanalyse est une science (ou une discipline 1 ) qui explique les symptômes qui se manifestent dans la vie psychique actuelle comme des effets d’événements qui se sont produits très tôt, dans l’enfance, voire pendant la vie intra-utérine ou encore du temps des parents, des grands-parents ou même des ancêtres lointains. On retrouve cette idée dans le principe d’interprétation des rêves qui veut que ces derniers utilisent comme matériau des éléments vécus la veille et choisis parce qu’ils présenteraient une analogie avec des événements beaucoup plus précoces, appartenant à l’enfance ou même à la petite enfance. Ce sont précisément ces éléments très précoces qui seraient activés dans le rêve. Il est facilement compréhensible, dès lors, que la prise en compte de la dimension temporelle, historique de la vie psychique du sujet soit une nécessité pour la psychanalyse, dans la mesure où le passé conditionne le présent.
D’autres idées développées par Freud vont dans le même sens. Freud pense par exemple que le psychisme conserve intacts les souvenirs sous forme de traces mnésiques entreposées dans la mémoire. De ce point de vue, il est tout à fait légitime, dans son esprit, d’apparenter la cure à une fouille archéologique. Les traces mnésiques sont inscrites dans la matière psychique et peuvent donc être retrouvées telles quelles. Le fait que Freud les compare régulièrement avec des « pierres », des « gravats » ou des « vestiges » lui permet d’apparenter la démarche analytique à la technique archéologique qui consiste à mettre au jour les restes enfouis et ordonnés en strates, qui témoignent objectivement de l’existence des époques passées. Les traces du passé ne sont pas éliminées mais sont enregistrées par stratification et le travail de l’analyste est alors de les redécouvrir. On trouve une telle théorie de la mémoire exposée notamment dans la lettre 52 à Fliess, du 6 décembre 1896, dans L’Esquisse d’une psychologie scientifique, dans Au-delà du Principe de plaisir ou dans la Note sur le bloc magique. Cette conception confère à l’objet de la cure une sorte d’objectivité. On peut encore citer, parmi les idées freudiennes, l’objectif qui est le sien de déterminer les lois universelles par lesquelles les souvenirs sont entreposés, « oubliés » et répétés sous forme de symptômes ; ou encore l’hypothèse, développée dans les lettres à Fliess, selon laquelle la représentation d’un événement vécu, selon le type d’événement et selon la disposition du sujet, causera telle névrose. Cette hypothèse accrédite l’idée sous-jacente qu’il existerait une causalité mécanique, qui organise les relations entre les représentations d’événements, les dispositions et les affections. Selon cette conception déterministe, nous serions le pur produit de notre enfance et de notre patrimoine héréditaire. Dans la lettre 46 à Fliess datée du 20 mai 1896, Freud expose ainsi comment l’âge pendant lequel surviennent les scènes sexuelles détermine le choix des névroses.
Ces trois éléments théoriques brièvement rappelés et qui mettent en avant les concepts d’objectivité, d’universalité et de déterminisme donnent la mesure de l’ambition freudienne de fonder une psychologie scientifique appelée à être un jour une véritable science de la nature, au même titre que la physique.
Ces quelques remarques étant formulées, j’énoncerai désormais la thèse de cet exposé en deux temps :
a) certes la psychanalyse assigne au temps un rôle fondamental dans son schéma explicatif du fonctionnement de la vie psychique.
La première partie de ce travail a comme fonction de développer ce point. Ainsi, c’est en posant la question de la relation que la vie psychique entretient avec la temporalité que la psychanalyse trouve son identité scientifique et peut se démarquer des orientations psychiatriques, neurologiques pertinentes à cette époque. Sa conception propre de la temporalité tient notamment à ce que ce discours se construise autour du concept d’originaire, qui fait de la psychanalyse une « pensée et science des origines ».
b) mais, la place fondamentale conférée au concept d’origine infléchit radicalement la posture épistémologique de la psychanalyse en l’excluant du domaine des sciences de la nature, ce qui contredit la visée freudienne explicite.
Cet aspect fera l’objet de la seconde partie de cette présentation.
La psychanalyse comme science ou pensée de l’origine
Le discours psychanalytique présente une double hypothèse : une hypothèse étiologique, visant à proposer une explication du processus de formation des névroses et une hypothèse thérapeutique, destinée à traiter les névroses, l’une conditionnant l’autre.
L’hypothèse étiologique
Progressivement, Freud élabore le schéma suivant pour rendre compte de la formation des névroses. Le sujet, étant enfant, subit passivement un événement réel dit « traumatique », le plus souvent d’ordre sexuel : c’est le moment de la « séduction ». De manière corrélative, la représentation de cet événement vient affecter la vie psychique du sujet. Elle vient en effet faire irruption ou effraction dans le psychisme encore pensé comme innocent de l’enfant et s’avère alors inconciliable avec les autres représentations ordinairement reçues par le sujet. Cela aboutit à un conflit psychique entre les représentations d’où il résulte que le psychisme cherche à nier la représentation, à la refouler.
Cependant, Freud réalise peu à peu qu’on ne constate pas en réalité de véritables suppressions de représentations d’événement traumatique dans la vie psychique. Bien au contraire, cette représentation initiale que le sujet a essayé de mettre à l’écart fait retour de manière modifiée dans la vie psychique, c’est-à-dire sous forme de symptôme. Tel est le sens de la formule des Etudes sur l’hystérie : « c’est de réminiscences surtout que souffre l’hystérique ».
Pour rendre compte de ce phénomène, Freud utilise le concept d’origine ou d’originaire 2 , pour qualifier la représentation de l’événement traumatique. Décrire la représentation de l’événement traumatique comme originaire signifie plusieurs choses. Cela désigne d’abord et évidemment la dimension temporelle : la représentation est dite originaire quand elle est au commencement, au point de départ du processus qui conduit au déclenchement de l’affection psychologique. Dans le discours freudien, penser une représentation comme originaire, c’est encore mettre en lumière cette dimension que nous appellerions « attractive », au sens où cette représentation serait comme investie d’une force de répétition. Décrire une représentation comme originaire, c’est constater ainsi l’existence de symptômes qui la reproduisent. Par exemple, les scènes dans les crises d’hystérie rejouent, y compris dans l’acception théâtrale du terme, la scène de séduction originaire. Dernier élément significatif, une représentation originaire n’est pas une représentation dont on peut constater l’existence psychique, mais qu’on peut seulement postuler. On observe des symptômes qu’on interprète comme étant des phénomènes de défense. Toute défense se construisant nécessairement à l’encontre de quelque chose, on en vient à postuler l’existence d’une représentation originaire qui serait le point de mitraille. La phobie de tel animal serait une défense à l’encontre de la représentation d’une agression sexuelle dont on aurait été la victime, par exemple.
L’hypothèse thérapeutique en œuvre dans la cure
L’élaboration de ce concept d’originaire - qui tout en étant centrale ne fait pourtant pas véritablement l’objet d’une théorisation explicite - permet non seulement de fournir une explication de la formation des névroses, mais aussi de les soigner. Deux méthodes sont alors mises au point, qu’on peut voir à l’œuvre dans le traitement des cas analysés dans les Etudes sur l’hystérie.
Par la méthode cathartique sous hypnose, utilisée dans le cas d’Emmy von N., le médecin ayant mis la patiente sous hypnose, il la ramène à la représentation originaire, invite celle-ci à en faire le récit et donc à revivre la scène en donnant libre cours aux affects occasionnés par cette scène. Ces derniers, qui n’avaient pas été liquidés à l’occasion de cette scène ni par la suite, étaient comme restés coïncés. Puis le médecin efface le souvenir de cette scène de sa mémoire. Freud parvient ainsi à effacer le souvenir des circonstances de la mort du mari d’Emmy von N., mort à laquelle elle a assisté, si bien que la patiente se plaindra de ce qu’il lui manque des souvenirs cruciaux de cet événement.
Par la méthode cathartique exercée alors que le médecin presse ses mains sur le front de la patiente (Lucy, Katharina ou Elisabeth), et qui préfigure la méthode de l’association libre, la malade, consciente, détendue, est invitée à associer librement les idées qui lui viennent, jusqu’à ce qu’elle en vienne au récit de la représentation originaire, ce qui permet à l’affect coïncé de se déverser verbalement. A partir des images associées et des mots du patient d’une part et des questions et interprétations du médecin d’autre part, ce dernier est bientôt en mesure de formuler la représentation originaire, que, bien souvent, le malade commence par nier pour enfin l’accepter.
Ces deux méthodes ne sont pas les seules à avoir été mises en forme et expérimentées par Freud. Il tente également par la suggestion de supprimer la représentation initiale, définitivement et sans avoir demandé au préalable à la patiente de la revivre, ou de remplacer la représentation inconciliable par une autre représentation, non conflictuelle. Ce sont toutefois celles que Freud a retenues comme obtenant le plus d’efficacité thérapeutique. Elles ont en commun le récit par le malade de la représentation inconciliable, récit fait dans des conditions telles qu’il constitue une véritable répétition, consciente ou inconsciente, puisque le malade revit les faits et les affects liés, cette fois en les élaborant dans la parole. La mise au point de ces deux méthodes suppose alors que Freud avalise les trois propositions suivantes. Les symptômes actuels sont les signes incontestables qu’il existe une représentation inconciliable. Cette représentation est originaire, au sens où elle détermine un processus de répétition symptomatique. La possibilité donnée à cette représentation de se répéter dans les mots et aux affects associés de se délier est la condition d’une guérison des symptômes, ou du moins d’un mieux-aller.
Le discours psychanalytique articule donc sa spécificité à partir du concept d’origine du symptôme, ce qui dit assez comment la question posée de la relation que la vie psychique entretient avec la temporalité a permis la fondation de ce discours. L’origine est alors ce point de butée auquel le psychisme fait retour compulsivement, non pas malgré le fait qu’il ait été refoulé, mais parce qu’il a été refoulé.
Le paradoxe de la temporalité ou la psychanalyse comme une science de l’esprit
Or, comme nous allons le voir, l’usage central qui est fait du concept d’originaire infléchit le postulat épistémologique freudien en ceci qu’il opère un déplacement de l’ensemble du discours vers la prise en compte d’une dimension mythologique, ce qui éloigne définitivement la psychanalyse de ses prétentions à entrer dans le rang des sciences de la nature, dites « sciences dures ». La raison en est que la conception de la temporalité chez Freud suit le vecteur orienté par l’origine, vecteur qui détermine une compréhension mythologique de la réalité. Avec la notion de mythe, on touche une thématique très large de la psychanalyse, aux ramifications étendues mais pour rester dans le cadre de cette exposition, je me contenterais d’évoquer trois pistes.
La représentation originaire est retrouvée dans l’après-coup
Dès 1892, Freud introduit progressivement la notion d’après-coup appelée à occuper une place fondamentale dans la psychanalyse, y compris contemporaine, notion dont la prise en compte modifie quelque peu le schéma que nous avons présenté de la formation de l’hystérie. Suivant ce schéma, la scène de la séduction de l’enfant par un adulte à l’origine de l’affection n’est pas d’emblée investie d’une signification sexuelle susceptible d’être traumatique. Ce n’est qu’après la puberté et la maturation sexuelle qui l’accompagne qu’une seconde scène survient, qui, tout en étant en elle-même anodine - comme le fait de se faire attaquer par un chat - présente une analogie avec la première scène, ici dans la forme de l’attaque. Cette seconde scène réactive les traces mnésiques de la première scène, dite alors originaire, ainsi répétée et chargée après-coup d’une signification sexuelle que le sujet est désormais à même de réaliser. Le souvenir de la première scène est cette fois compris comme étant celui de ce qui était une agression sexuelle, et produit le refoulement. L’idée contenue est donc celle d’un différé dans le temps, d’un effet à retardement.
L’insertion de la notion d’après-coup a des effets cruciaux, dans la mesure où elle entame la compréhension linéaire et chronologique du temps, puisqu’un événement originaire est un événement dont la teneur se réalise en deux fois, la première fois recevant son sens de sa répétition même.
Ce qui est originaire à proprement parler n’est pas un événement mais un fantasme
Le 21 septembre 1897, Freud écrit une lettre à Fliess devenue célèbre et dans laquelle il annonce qu’il « ne croi[t] plus à [s]a neurotica » : il cesse de croire que les affections aient comme origine une scène de séduction réelle et avérée d’un enfant par un adulte. On peut retenir parmi les multiples raisons de cet abandon les deux suivantes. Freud découvre qu’il n’existe dans l’inconscient aucun « indice de réalité » et il devient donc impossible de distinguer vérité et fiction investie d’affect, les deux ayant la même réalité psychique. En outre, chez les patients atteints de psychoses les plus profondes, le souvenir inconscient de cette scène présupposée ne jaillit pas, le secret de l’incident restant enfoui. Freud conclut alors qu’il n’existe pas dans le passé du patient de scène réelle de séduction.
Pour autant, il ne remet pas en cause son schéma de l’originarité et en vient à supposer que se trouve à l’origine des névroses non plus un événement réel mais un fantasme sexuel produit par l’enfant lui-même. Il y a bien scène originaire, mais elle est fantasmée par l’enfant. Se profile alors la découverte de la sexualité infantile et du complexe d’Œdipe. Il importe donc de ne plus considérer la représentation originaire inconciliable comme le souvenir d’un événement réel mais comme le fantasme d’un événement, qui vise à mettre en scène le désir. Un déplacement s’opère ainsi de la prise en compte du réel objectif à la considération du fantasme vécu, subjectif.
L’origine est le résultat d’une construction, dans un récit
Dès lors, ce ne peut être par la remémoration consciente, par la découverte d’un donné resté latent, par le dévoilement de traces mnésiques restées intactes qu’on peut remonter à l’origine. Par quel moyen y accéder ? Citons ici L’Introduction à la psychanalyse :
« Il est, à mon avis, possible que tout ce qui nous est raconté au cours de l’analyse à titre de fantasmes, à savoir le détournement d’enfants, l’excitation sexuelle à la vue des rapports sexuels des parents, la menace de la castration […] - il est possible que toutes ces inventions aient été jadis, aux phases primitives de la famille humaine, des réalités, et qu’en donnant libre cours à son imagination l’enfant comble seulement, à l’aide de la vérité préhistorique les lacunes de la vérité individuelles. »
Nous pouvons retenir deux idées principales de ce texte. D’abord, Freud persiste à penser qu’il subsiste bien un noyau de réalité, mais puisqu’il n’appartient pas à la réalité individuelle, il le situe dans la réalité préhistorique. Il fait l’hypothèse que la scène originaire fantasmée par l’enfant est déjà en elle-même une répétition d’une scène qui se serait produite réellement dans la horde primitive, dont il postule l’existence en s’appuyant notamment sur Darwin. Ensuite et surtout, Freud pose que l’accès à ce noyau de réalité se fait par l’imagination, par des inventions que forment l’enfant puis que raconte l’analysant 3 . L’accès à l’origine se fait donc au terme d’un récit imaginé, fantasmé. On rejoint ce que dit Freud dans un texte de 1937 :
« Assez souvent nous ne réussissons pas à amener le patient à se souvenir du refoulé. A la place nous obtenons chez lui, si nous avons mené correctement l’analyse, une ferme conviction de la vérité de la construction, conviction qui a le même effet thérapeutique qu’un souvenir retrouvé. » (Constructions dans l’analyse)
Les trois aspects de l’origine que nous venons de dégager, à savoir le fait qu’elle est retrouvée après-coup, à titre de fantasme, au terme d’un récit (d’une construction), montrent qu’il faut infléchir la compréhension du temps dans un sens mythologique. Rappelons que le mythe est en effet une histoire racontée, récitée, sans avoir été vécue, de faits qui n’appartiennent pas à la réalité objective, historique et se rapportant à un temps originaire, d’avant le temps, c’est-à-dire d’avant toute chronologie.
Conclusion
L’usage théorique du concept d’originaire dans le discours freudien est donc à la fois ce qui distingue ce discours des autres discours scientifiques et ce qui oriente une prise en compte du temps mythologique. Ainsi, Freud, malgré sa volonté explicite, forme la psychanalyse sur un modèle qui ne peut être celui des sciences de la nature et se rapproche bien au contraire des sciences de l’esprit. Pour finir, je laisse la parole à Freud qui en 1932 répond à une lettre d’Einstein qui lui demande ce que la psychanalyse peut dire de la guerre et de la violence humaine. Freud explique le penchant de l’homme à la violence et à la guerre par la pulsion de mort, inhérente à tout être humain, recourant à ce qu’il appelle « notre mythologie », autrement dit la théorie des pulsions. Il conclut alors : « peut-être avez-vous l’impression que nos théories sont une sorte de mythologie, dans le cas présent une mythologie qui n’est pas même réjouissante. Mais toute science de la nature ne revient-elle pas à une telle sorte de mythologie ? En va-t-il aujourd’hui autrement pour vous en physique ? » (Pourquoi la guerre ?)
Freud, Sigmund, « Lettres à Fliess », in La Naissance de la psychanalyse, Paris, PUF, 1956 (lettres 46, 52 et 69)
Freud S., et Breuer, J., Etudes sur l’hystérie, Paris, PUF, 1956.
Freud S., Nouvelles Remarques sur les névropsychoses-de-défense, in Sigmund Freud, Œuvres complètes, vol. III, Paris, PUF, 1989.
Freud S., Introduction à la psychanalyse, in Sigmund Freud, Œuvres complètes, vol. XIV, Paris, PUF, 2000.
Freud S., « Pourquoi la guerre ? », in Sigmund Freud, Œuvres complètes, vol. XIX, Paris, PUF, 1995.
Freud S., « Constructions dans l’analyse », in Résultats, idées, problèmes, II, Paris, PUF, 1985.
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