Consacrés aux rapports entre écriture et compilation de données, les textes de ce recueil ont pour objet commun d’investir la forme de la liste en résonance avec les pratiques computationnelles.
Au-delà des questions purement formelles que soulèvent les rapports de l’écriture à la constitution d’inventaires, l’enjeu est ici de rassembler différents gestes littéraires qui rendent compte d’un certain état de la langue, travaillée de l’intérieur par les pratiques du traitement ou de la compulsion de données.